Billet d'humeur d'un cachalot misanthrope
Cinq mois plus tard.
Cela faisait longtemps que je n'avais pas pris le temps d'écrire sur ce blog. J'attends depuis plus d'un an mon nouveau blog avec sa jolie déco que j'ai faîte moi-même, et je n'ai plus envie d'écrire ici. Le petit soucis, c'est que je ne parviens pas souvent à croiser mon aménageuse de choc, et que lorsqu'on se croise enfin, on a mieux à faire que de parler cahier des charges.
Donc je reprends la plume virtuelle ici.
Pour râler. Vraiment, je n'ai qu'une envie c'est de râler.
Habituellement, je suis en cours à cette heure, mais je suis malade. Honnêtement, j'aurais pu faire l'effort d'y aller, mais je n'avais pas envie. Il fait trop froid et je suis trop grosse, deux raisons suffisantes.
Ce qui me donne envie de râler en ce moment, outre le gras impressionnant qui a envahi durablement mon corps, pourrait donner lieu à une liste de doléances insignifiantes qui devraient me faire honte.
Pas de honte à l'horizon pour le moment, alors j'en profite pour clâmer haut et fort que le rythme d'un exposé par semaine n'est pas l'idée du siècle, que je suis franchement agacée que la matière qui me donne le plus de travail soit précisemment la matière la plus inintéressante de l'année, et qu'enfin, les exposés en binôme, c'est contre-productif en terme de temps. Et du temps, pour ne pas changer, je n'en ai pas suffisamment.
Autre sujet de mécontentement, les FB'addicts. Faire comme si tout le monde était sur FB, ce n'est pas malin. C'est même blessant de voir des amis proches déballer les détails de leur vie devant leurs 150 "amis", et ne pas prendre le temps d'envoyer un sms. Je me demande vraiment jusqu'où ira notre génération fast-food.
Je m'arrête ici, parce que j'ai tout dit, sauf l'essentiel, mais au moins j'ai cerné où était mon problème.
C'est une méthode efficace que je devrais faire breveter : quand je sens que quelque chose ne va pas, je râle, et surtout je m'adresse à une ou plusieurs personnes, même "virtuellement" parce que ça m'oblige à poser des mots sur les sentiments. Et au bout d'un moment, la vérité apparaît et n'a souvent rien à voir le sujet en cours de discussion.
Je cuisinerai pour toute personne qui devinera le coeur du problème ! Je vous raconterai de toute façon, mais pas ce soir, j'ai assez gémi pour aujourd'hui.
Et je reviendrai vous décrire mes efforts pour arrêter de m'empiffrer, pour boucler mes exposés, pour vous raconter les derniers potins. Après tout, c'est la vocation première de ce blog : maintenir un lien avec mes amis durant les périodes de repli. Seulement avec mes amis, sans auto-censure. Un blog vaut largement FB à mes yeux.^^
Cela faisait longtemps que je n'avais pas pris le temps d'écrire sur ce blog. J'attends depuis plus d'un an mon nouveau blog avec sa jolie déco que j'ai faîte moi-même, et je n'ai plus envie d'écrire ici. Le petit soucis, c'est que je ne parviens pas souvent à croiser mon aménageuse de choc, et que lorsqu'on se croise enfin, on a mieux à faire que de parler cahier des charges.
Donc je reprends la plume virtuelle ici.
Pour râler. Vraiment, je n'ai qu'une envie c'est de râler.
Habituellement, je suis en cours à cette heure, mais je suis malade. Honnêtement, j'aurais pu faire l'effort d'y aller, mais je n'avais pas envie. Il fait trop froid et je suis trop grosse, deux raisons suffisantes.
Ce qui me donne envie de râler en ce moment, outre le gras impressionnant qui a envahi durablement mon corps, pourrait donner lieu à une liste de doléances insignifiantes qui devraient me faire honte.
Pas de honte à l'horizon pour le moment, alors j'en profite pour clâmer haut et fort que le rythme d'un exposé par semaine n'est pas l'idée du siècle, que je suis franchement agacée que la matière qui me donne le plus de travail soit précisemment la matière la plus inintéressante de l'année, et qu'enfin, les exposés en binôme, c'est contre-productif en terme de temps. Et du temps, pour ne pas changer, je n'en ai pas suffisamment.
Autre sujet de mécontentement, les FB'addicts. Faire comme si tout le monde était sur FB, ce n'est pas malin. C'est même blessant de voir des amis proches déballer les détails de leur vie devant leurs 150 "amis", et ne pas prendre le temps d'envoyer un sms. Je me demande vraiment jusqu'où ira notre génération fast-food.
Je m'arrête ici, parce que j'ai tout dit, sauf l'essentiel, mais au moins j'ai cerné où était mon problème.
C'est une méthode efficace que je devrais faire breveter : quand je sens que quelque chose ne va pas, je râle, et surtout je m'adresse à une ou plusieurs personnes, même "virtuellement" parce que ça m'oblige à poser des mots sur les sentiments. Et au bout d'un moment, la vérité apparaît et n'a souvent rien à voir le sujet en cours de discussion.
Je cuisinerai pour toute personne qui devinera le coeur du problème ! Je vous raconterai de toute façon, mais pas ce soir, j'ai assez gémi pour aujourd'hui.
Et je reviendrai vous décrire mes efforts pour arrêter de m'empiffrer, pour boucler mes exposés, pour vous raconter les derniers potins. Après tout, c'est la vocation première de ce blog : maintenir un lien avec mes amis durant les périodes de repli. Seulement avec mes amis, sans auto-censure. Un blog vaut largement FB à mes yeux.^^